Pour détecter, prévenir et réprimer la corruption l’Agence de Prévention et de Lutte contre la Corruption – APLC. a mis en place des dispositifs dont les résultats sont concrets . Cependant, pour éradiquer ce fléau et faire reculer la Corruptiion à l’horizon 2026, il est important d’appuyer cette approche par un engagement légal, d’où la nécessité de l’adoption d’une loi spéciale anti corruption.
C’est ce qu’a souligné jeudi matin, Thierry Mbulamoko, Coordonnateur de L’APLC face à un parterre de parlementaires, de Sénateurs de membres de la Société civile…lors du Café légistique organisé par l’institut Supérieur des Études Parlementaires ISEP, en partenariat avec le Le PNUD en République démocratique du Congo.
Les points développés:
La compréhension à géométrie variable d’une Loi anticorruption en RDC
L’harmonisation des vues quant à la réglementation d’une Loi anticorruption adaptée aux réalités congolaises
Volet prévention
La question des immunités
Délai de prescription plus long/voire imprecriptibilité
Récupération des avoirs/biens volés
Extraterritorialité de la loi
Incrimitation des fonctionnaires étrangers/OI publiques
Obligation de déclarationdes avoirs